DICTONS, PROVERBES, SENTENCES,
MAXIMES ET AUTRES APHORISMES
(septième partie)

- Nous sommes toujours dans une civilisation christocentrée, c’est-à-dire que notre identification principale reste Jésus-Christ. Chaque année, il y a un nombre important de gens, hommes et femmes, qui déclarent être le Christ ou une de ses formes ou quelque chose en rapport avec le Christ. Depuis bientôt deux mille ans que cela dure, il serait peut-être temps de s’en rendre compte. Sans aller jusqu’à déclarer ouvertement être le Christ, chacun d’entre nous, homme ou femme, s’identifie bien plus au Christ qu’il ou elle ne le croit ou ne veut l’admettre. C’est un tabou d’une importante violence psychique qu’il vaut la peine de dépasser. Un peu comme on peut parler aujourd’hui librement de fantasme sexuel, on devrait pouvoir parler de ses fantasmes d’identification à Jésus-Christ, Napoléon, Jeanne d’Arc, la Vierge Marie ou d’autres personnages historiques. Chacun devrait faire une liste de ses dix principales identifications, une sorte de portrait chinois du passé. Pour moi, par exemple, ce serait Jésus-Christ, Constantin le Grand et Dioclétien tout à la fois, Nicolas Foucquet, Napoléon, Richard Cœur de Lion et disons aussi un peu le Cid Campeador. Et vous ? Cela peut aussi être des personnages entièrement fictifs, de cinéma ou de roman. Vous ne vous êtes jamais pris pour Zorro ?

- Onze mille morts par suicide chaque année en France. Cela doit relativiser notre vision de la peine de mort et de la criminalité indirecte. Même les barbouzes commettent habituellement leurs crimes de façon sournoise en amenant leurs cibles à l’autodestruction.

- Il faut interdire complètement l’intérim. Il faut également interdire les contrats à durée déterminée et la prestation de services qui ne sont pas absolument justifiés. Il n’y a aucune raison de faire vivre des salariés dans un statut discriminatoire. C’est nuisible à l’ensemble de la société. Tous les travailleurs doivent être égaux. Il est inadmissible que des travailleurs jouissent de privilèges sur le dos de la précarité qu’ils imposent à d’autres travailleurs. Remarquez que la précarité actuelle ne vient pas forcément du patronat mais bien de travailleurs qui aiment dominer un sous-prolétariat d’intérimaires, de prestataires de services et de contrats à durée déterminée. La gestion du personnel des sociétés doit se faire de façon à ne pas faire appel à des intérimaires, des prestataires de services ou des contrats à durée déterminée. Il est immoral qu’une femme puisse prendre ses congés maternité sur le dos d’une autre femme condamnée à un emploi précaire d’intérimaire. Cela implique une mobilité interne adéquate pour remplacer le personnel en arrêt de travail. Tout le personnel qui travaille dans une entreprise doit être payé par la même direction du personnel avec les mêmes droits et les mêmes risques d’entreprise. Il ne doit pas y avoir de victimes désignées d’avance pour les futures compressions de personnel. Un intérimaire, un prestataire de services ou un contrat à durée déterminée, c’est très confortable pour ceux qui l’utilisent mais c’est la rupture du pacte social du travail et donc la ruine de l’ensemble de la société. Un contrat de travail précaire ou discriminatoire, c’est un logement qui ne sera pas construit ; et quand le bâtiment ne va pas, rien ne va. Il vaut mille fois mieux ne pas travailler du tout que travailler en intérim, en prestation de services ou en contrat à durée déterminée, mais comme on ne peut obtenir que les gens se sacrifient individuellement à très court terme en refusant ces contrats précaires ou discriminatoires, il faut les interdire complètement.

- Il y a encore quelques décennies, le personnel qui faisait le ménage dans les couloirs du métro parisien avait le statut d’employé de la RATP. Le fils d’un balayeur du métro allait dans les mêmes colonies de vacances que le fils d’un conducteur de rame. Depuis, les balayeurs ont été « externalisés », c’est-à-dire qu’on en a fait des prestataires livrés à des margoulins qui font du trafic de main-d’œuvre et du marchandage. Ces balayeurs n’ont donc plus aucun des avantages d’entreprise qu’ils avaient précédemment et leurs enfants ne vont plus en colonie de vacances avec ceux des conducteurs de rame. Les travailleurs qui le peuvent s’arrangent pour ne plus partager leurs avantages sociaux avec les autres travailleurs. Cette situation odieuse est particulièrement claire dans une entreprise comme la RATP où le comité d’entreprise roule sur l’or pendant que des prestataires sont exploités abominablement dans la précarité. Remarquons que ce sont les entreprises les plus riches qui créent le plus de précarité car ce sont les travailleurs de celles qui ont le plus d’avantages d’entreprise qui tiennent le moins à les partager. Ainsi on a précarisé le personnel de ménage et de gardiennage, mais on a aussi précarisé le personnel des nouvelles technologies comme l’informatique et progressivement de plus en plus de secteurs si bien qu’on peut aujourd’hui tout externaliser. C’est l’égoïsme des travailleurs privilégiés et syndiqués qui est à l’origine de cette dérive, c’est donc bien contre ces travailleurs privilégiés et leurs odieux syndicats que les travailleurs précarisés doivent d’abord lutter.

- Les sociétés de recrutement doivent également être interdites. Elles ne peuvent amener en se concurrençant les unes les autres qu’une surenchère de soumission et d’humiliation des travailleurs. Les chasseurs de tête sont surtout une légende ; dans la réalité, les sociétés de recrutement dévalorisent l’employé en plus de multiplier les obstacles vers l’emploi et les périodes d’essai.

- Eliminer les intermédiaires entre l’employé et l’employeur véritable, éliminer les parasites de l’emploi, éliminer les marchands de précarité. Il faut se réveiller de l’illusion d’être un entrepreneur et un employeur quand on n’est qu’une magouilleuse boîte d’intérim, un succédané prestataire de services ou un sous-traitant bidon.

- Ce qui est sûr pour les victimes de plans sociaux, c’est qu’en laissant perdurer l’état actuel des choses, la plupart d’entre eux ne retrouveront jamais un véritable emploi et qu’au mieux, ils iront d’intérim en contrat à durée déterminé avec un peu de prestation de services et un brin de sous-traitance. Le drame, ce n’est pas le plan social que nous montrent les médias mais ce qui vient après avec ces centaines de milliers de précarisés licenciés chaque fin de semaine avec la torture psychique, le délabrement physique et finalement les innombrables suicides que cela implique.

- Il est nuisible pour l’économie de maintenir des emplois qui donnent l’illusion d’apporter des solutions individuelles provisoires et qui ne créent en fait que de la dangereuse précarité.

- Dans les temps anciens, les peuplades qui s’adonnaient au féminisme en subissaient beaucoup plus rapidement les conséquences et disparaissaient beaucoup plus rapidement.

- Il est injuste que la femme monopolise les postes d’assistance tout en revendiquant l’égalité pour les postes de direction. C’est là où le discours féministe est incohérent et particulièrement insupportable, c’est qu’elles ne demandent aucune parité pour les postes de secrétariat, par exemple. L’homme est condamné à sauter une barre toujours plus haute pour simplement survivre alors que la femme a de plus en plus de choix et de monopoles. Exigeons la parité dans les postes d’assistance comme le secrétariat. L’homme a autant le droit de ne pas se prendre la tête que la femme.

- Le cœur des femmes a des raisons que leur raison n’a pas. Elles réclament l’égalité mais elles n’ont d’attirance que pour les hommes au-dessus d’elles. Elles s’estiment dévalorisées sexuellement si elles n’arrivent pas à conquérir un mâle occupant une position sociale supérieure à la leur.

- Je ne pense pas posséder de solution pour régir les relations entre les sexes mais je constate qu’il n’y a que des mensonges sur ce sujet mouvant où s’effectue la plus grande des révolutions. Personne ne parle librement. On voit bien que toutes les personnes interrogées parlent du féminisme avec la ferveur des victimes d’une dictature ou du syndrome de Stockholm. Il faudra bien sortir de cette situation extrêmement malsaine et essayer de commencer à voir les choses telles qu’elles sont réellement entre l’homme et la femme.

- Les syndicats sont tombés en-dessus du corporatisme pour ne servir que des catégories privilégiées de travailleurs.

- Une femme demande à un homme de lui apporter une raison de vivre ainsi que la force de vivre. Malgré ses revendications égalitaires, elle exige qu’il assume les deux premiers piliers de l’existence.

- En raison des rapports de séduction par définition extrêmement forts entre l’homme et la femme, on peut douter qu’une quelconque vérité puisse émerger entre eux. On doit cependant essayer de dépasser la séduction sans pour autant tomber dans l’inimitié pour l’un ou l’autre sexe afin d’arriver à une réflexion qui serve l’intérêt des deux sexes.

- Le discours féministe n’est pas valable parce qu’il ne se préoccupe pas de l’intérêt de l’homme. De la même façon, un discours qui ne se soucie pas de la femme est sans valeur. Il faut un discours qui soit à la fois masculin et féminin, et, pour cela, il y a énormément de tabous à vaincre. Il est nécessaire qu’hommes et femmes participent à ce discours.

- Nous avons des législateurs qui produisent des lois d’une violence répressive extraordinaire sur des sujets qui sont souvent loin de le mériter pendant que des gamins et des gamines continuent à prendre les entrées de nos habitations pour des buts de football et qu’il n’y a rien à y faire.

- C’est la multiplication de petits abus qui nous pourrit la vie, et c’est là qu’il faut intervenir avec des moyens adéquats qui ne peuvent pas être ceux d’une répression violente. Il faut empêcher les enfants de nous imposer partout leurs agitations, leurs jeux excessifs, voire destructeurs, ainsi que leurs hurlements. Il faut pouvoir intervenir contre les reniflements, les bruits de bouche, les perturbations diverses et les accaparements d’attention qu’imposent les importuns. Il faut aussi pouvoir empêcher de salir les banquettes en y mettant les semelles des chaussures. Il faut pouvoir arrêter tous ces petits comportements nuisibles sans avoir besoin de recourir constamment à une institution judiciaire lourde, très répressive et, de plus, saturée.

- C’est dans les limites de la tolérance que se situe le combat. Par exemple, un patron ne violera pas ouvertement les lois mais il prendra autant d’intérimaires et de prestataires de services qu’on le lui permettra. La lourdeur de la procédure judiciaire n’est pas adaptée aux réalités de la vie. Disproportionnée, elle est ridicule et finalement inexistante. Il faut en revenir à une justice de paix, de dialogue, d’arrangement, de gratuité et de proximité.

- Le problème c’est que les gens ne sont pas honnêtes, qu’ils cherchent en fait à se vendre au plus offrant, et que pour cela ils ont besoin de savoir non pas la vérité mais qui fait la meilleure offre à court et à moyen terme.

- La bienveillante prévenance est la plus louable des qualités. C’est tout le contraire du sadisme social habituel qui consiste à se réjouir du plantage des gens.

- La permanence de l’empire romain au moins jusqu’à la chute des grands empires de la fin de la Première Guerre Mondiale est à prendre en considération. Au 6e siècle, Justinien en reconstitue la plus grande partie et est un très grand et très remarquable empereur. Au 9e siècle, Charlemagne, empereur de l’empire romain d’occident, et Irène, impératrice de l’empire romain d’orient, réunissent à eux deux le plus grand empire romain ayant jamais existé. Au 10e siècle, la conversion de la Russie de Vladimir prépare la propagation ultérieure de l’empire romain vers l’Asie. Au 16e siècle, Yvan le Terrible prend le titre de césar (tsar). A la fin de la Révolution Française, c’est encore en tant qu’empereur dans la droite tradition romaine que Napoléon assoit son pouvoir. De la frontière écossaise à la frontière chinoise s’est exercé une forme de pouvoir romain. Après la chute de Constantinople, Moscou a revendiqué l’héritage et s’est posée en troisième Rome. A l’heure de la construction européenne, c’est quelque chose qu’il ne faut pas oublier sous peine d’avoir du mal à saisir pourquoi les Russes se sentent au moins aussi Européens que nous, en tous cas autant sinon plus héritiers de l’empire romain.

- Le tutoiement inopportun est source d’extrême violence. Il ne faut pas tutoyer les gens qui ne font pas réellement partie de votre familiarité. Ne tutoyez pas quelqu’un qui ne pourrait pas sonner à votre porte à trois heures du matin en étant sûr de pouvoir dormir chez vous au moins sur un canapé. Tutoyer autrement, en plus d’une fausse promesse d’assistance, est un viol de l’intimité. Les révolutionnaires se sont toujours envoyés à la guillotine ou au goulag en se tutoyant. Respectez les distances de sécurité avec le vouvoiement car, comme sur la route, cela évite les accidents. Il ne faut pas non plus chercher à imposer à tout prix le vouvoiement face au tutoiement généralisé actuellement de nouveau à la mode mais essayer d’établir le vouvoiement par des méthodes douces, donc progressives. Il s’agit d’arriver à sortir habilement du piège de la Terreur induite sournoisement par le tutoiement inopportun.

- Il faut faire la chasse aux boulots pourris, à l’intérim, à la prestation de service, à toute forme de délégation de personnel et à la sous-traitance bidon. Il faut dorénavant s’en prendre directement aux intérimaires et aux prestataires de services en réalisant que ce ne sont rien d’autre que des jaunes qui ont accepté des conditions de travail indécentes. Il faut faire tout ce qu’il est possible de faire pour empêcher les délégations de personnel sous forme de soi-disant prestation de services et les intérimaires de sévir sur le marché de l’emploi. En attendant l’abolition de l’intérim et de toute forme de délégation de personnel, il faut employer toutes les formes de résistance. On a cru qu’un boulot pourri, c’était mieux que pas de boulot du tout. Eh bien, c’est faux ! Il va falloir faire une pause pour remettre de l’ordre dans notre économie en faisant la chasse à tous les boulots pourris, à tout ce qui génère de la précarité inutile, à tout ce qui, à la longue, pèse lourdement sur l’activité générale. Mieux vaut pas de boulot du tout qu’un boulot pourri. L’intérim et la prestation de services, ce sont des milliers de suicides chaque année. J’ai moi-même fait une carrière d’intérimaire et de prestataire de services dans l’informatique où j’étais persuadé d’avoir toujours du travail. Le résultat est qu’à l’approche de la cinquantaine, plus personne ne veut de vous. Et là, je suis bien obligé de me rendre compte de l’indécence des sociétés pour lesquelles j’ai eu le malheur de travailler. Mieux vaut un boulot stable que dix boulots instables. Dix prestataires de services ou intérimaires continueront de vivre chez leurs parents car ils ne trouveront pas à se loger tandis qu’un seul emploi stable génère une chaîne d’autres emplois stables. La précarité est une fausse bonne solution individuelle à court terme et un véritable fléau économique qui ruine l’ensemble de la société. N’allez jamais dans une boîte d’intérim et n’acceptez jamais de travailler pour une société soi-disant cliente en vous faisant payer par une autre. Le chômage ne va que s’aggraver car il y a trop de précarité qui génère encore plus de chômage qui génère encore plus de précarité, etc. On n’en sortira que lorsqu’on sera fermement décidé à faire la chasse à la précarité qui est à l’origine du chômage, donc à se débarrasser de tous les boulots pourris. On devra commencer par interdire les sociétés de recrutement car seules les véritables employeurs doivent être autorisés à faire des opérations de recrutement avec les responsabilités que cela implique, et surtout parce que les sociétés de recrutement dévalorise le travailleur. Quant à l’intérim, il est immoral. Pour qu’un travailleur disposant d’un statut puisse jouir de tous ses privilèges, d’autres travailleurs doivent être condamnés à la précarité. Ce n’est pas acceptable d’être remplacée par une intérimaire pendant un congé maternité ou autre. C’est dégueulasse d’interdire à d’autres femmes d’avoir un statut et à vivre dans une mortelle précarité pour pouvoir jouir, soi, pleinement de ses privilèges d’employée statutaire, on doit donc imposer de s’organiser autrement qu’avec des intérimaires. C’est tout aussi dégueulasse de voir des employés statutaires faire faire le boulot qui les emmerde par des prestataires de services. Le fonctionnaire d’aujourd’hui est devenu un garde-chiourme de prestataires de services, un contrôleur des travaux finis d’employés extérieurs précarisés. Et ça, c’est vraiment intolérable.

- Manipuler le lecteur y compris avec des propos insensés dans l’espoir d’arriver à le faire sortir de sa mauvaise foi endémique.

- La kyriologie a fort à voir avec la psychologie évolutionniste. Cependant les ambitions sont différentes et la kyriologie que je souhaite est plus radicale envers les tabous, surtout ceux de la religion. La kyriologie est la science de tout ce qui se rapporte à la domination.

- Il n’y a pas de vie commune entre mâles et femelles adultes dans les espèces animales matriarcales. Lorsque le jeune mâle approche l’âge adulte, il est chassé du clan et doit vivre en solitaire. Si le patriarcat intègre plus ou moins bien la femelle, le matriarcat, lui, procède par exclusion radicale du mâle. Lorsqu’un militaire de sexe masculin trouve fantastique d’avoir une femme comme ministre de la défense, cela induit de sa part le même enthousiasme pour se faire larguer par son épouse et ne pratiquement plus voir ses enfants. L’un implique obligatoirement l’autre comme nous le constatons de visu.

C’est plus futé, parfois, de ne pas être intelligente (Bimboland).

Tous les justiciables français qui ont eu affaire avec les institutions judiciaires ont rapidement compris que celles-ci n’obéissent pas aux règles de droit ni au sens commun mais à des règles occultes qui ont pour conséquence la protection des plus puissants, fussent-ils délinquants ou criminels, à partir du moment où ils sont membres d’un des multiples réseaux maçonniques, templiers ou « sectaires » de protection mutuelle (Christian COTTEN, http://www.politiquedevie.net, chriscotten@wanadoo.fr, 06 80 87 79 28).

- Il faut faire une guerre économique totale à l’oncle Mam. Jamais une nation n’a accumulé une dette aussi colossale que celle des Etats-Unis d’Amérique qui ont un budget militaire supérieur à celui des budgets militaires additionnés de tous les autres pays de la planète. Cette hyper puissance aux pieds d’argile peut rapidement se retrouver dans un état comparable à celui de l’Argentine, le temps pour le dollar américain de s’écrouler sur les places financières, sa valeur réelle étant aujourd’hui pratiquement nulle. C’est là où il faut attaquer en concurrençant tout ce qui peut encore faire rentrer des devises aux Etats-Unis d’Amérique et continuer de faire durer la bulle du dollar américain. Par exemple, il faut encourager et aider à se développer des entreprises comme Mecca Cola, lutter contre Microsoft en optant pour Linux partout ou cela est possible, etc. Débarrassons-nous de notre complexe et n’hésitons pas à laisser grimper l’euro par rapport au dollar américain. La guerre d’Afghanistan a fait chuter l’URSS, les multiples guerres entreprises par les EUA provoqueront également leur chute.

- Abolissons l’insupportable et meurtrière discrimination dans le travail. Tous les travailleurs d’une même entreprise doivent avoir le même statut, le même contrat de travail. Interdisons l’intérim dans tous les cas, ainsi que la prestation de service et la sous-traitance illégitimes qui ne relèvent que du trafic illicite de main-d’œuvre. Quand un soi-disant sous-traitant réalise plus de cinquante pour cent de son chiffre d’affaires avec le même soi-disant client, il s’agit évidemment d’un trafic illicite de main d’œuvre. L’appareil judiciaire actuel doit être reconnu comme la plus violente organisation criminelle ne serait-ce que par son refus systématique d’appliquer les lois sur le travail, particulièrement sur le trafic illicite de main-d’œuvre.

- Récemment, une justiciable américaine a dépensé quatre cents millions de dollars pour sa défense, et son affaire est loin d’être finie ! Nos actuels avocats sont les plus grands criminels que nous ayons à subir et seule une révolution d’une ampleur au moins égale à celle de la Révolution Française pourra mettre fin au pillage judiciaire. La justice doit être gratuite, et quiconque enfreint ce droit de l’homme essentiel, puisque de lui dépendent tous les autres, doit subir la plus lourde des peines en vigueur.

- Bien que les droits de l’homme interdisent de faire payer à un prisonnier des frais de détention, l’administration pénitentiaire française retient trente pour cent du très maigre salaire des détenus qui travaillent en prison sous l’intitulé « Frais d’entretien ». Vous me direz que « Frais d’entretien » du détenu n’est pas interdit alors que « Frais de détention » l’est ! Il suffit d’avoir fait l’ENA pour savoir comment présenter les choses. Cette même administration pénitentiaire facture aux détenus, qui sont généralement dans une totale indigence, cinquante euros par mois la location d’un mini téléviseur. La valeur marchande de gros de ces mini téléviseurs ne dépassant guère cinquante euros l’unité, le détenu paye ainsi chaque mois le prix d’un mini téléviseur neuf. Dans certaines prisons comme La Santé à Paris, l’achat d’un short pour participer aux activités sportives est facturé quarante euros. Les gradés et surveillants de prison chargés de faire respecter le minimum légal du salaire horaire des détenus qui travaillent à la pièce sont souvent corrompus ou peu concernés. Ainsi il n’est pas rare que le travail à la pièce des détenus ne soit rémunéré qu’à hauteur de dix pour cent du minimum légal. Le flou qui entoure la rémunération du travail à la pièce en milieu pénitentiaire ne fait aucunement l’objet du contrôle sérieux nécessaire, et l’on ne voit pratiquement jamais un gradé ou un surveillant responsable du travail des détenus vérifier en se servant de sa montre que le minimum horaire légal est respecter comme ils ont pour tâche de le faire. Les gradés et surveillants de prison qui protestent contre ces exploitations indécentes de la misère des détenus ne sont pas écoutés et ont à faire face à des problèmes de carrière.

- Il ne faut pas croire qu’il n’existe pas de franc-maçonnerie chrétienne, voire catholique, et de franc-maçonnerie d’extrême droite. Bien au contraire, elles existent et sont puissantes.

- Puisqu’il est difficile d’abolir totalement le testament et qu’il faut néanmoins empêcher les testateurs de nuire aux membres de leur famille par delà la mort, le mieux est de faire passer une loi qui invalide toute disposition testamentaire ayant pour résultat de déshériter un héritier naturel. Par exemple, en l’absence d’enfant le testateur ne pourra tout léguer à un seul de ses frères ou sœur puisque cela aura pour résultat de déshériter les frères ou sœurs qui n’auront pas été choisis par lui. On peut remplacer frères et sœurs par neveux et nièces ou par père et mère, etc. Le testateur ne doit pas non plus pouvoir léguer plus du dixième de ses biens à un étranger à sa famille. Le testateur ne peut déshériter ses héritiers naturels au-delà du dixième de l’ensemble de sa fortune et de ses biens. Il dispose néanmoins jusqu’à un dixième pour agir à sa fantaisie.

- Les religions sont des sectes qui ont réussi.

- Ce dont j’ai le plus honte, c’est d’avoir réellement cru qu’il pouvait y avoir une quelconque forme d’humanité chez nos juges actuels.

- Une nature foncièrement criminelle cherchera toujours à s’établir dans la justice ou la police, les plus grands crimes se faisant sous la protection de l’Etat.

- Cette religion de prêtes-juges et de diacres-avocats ne marchent plus. Il arrive un moment où l’on ouvre les yeux et où l’on voit que le juge est un salopard nu et que l’avocat est un pilleur de patrimoine.

- Les sacrifices humains ne sont après tout abolis entièrement sur Terre que depuis cent dix ans. C’est avec la chute du Bénin et de ses sanguinaires amazones en 1893 que disparu le dernier gouvernement à les pratiquer officiellement. Cent dix ans seulement, cela relativise pas mal de choses.

- Nous avons aujourd’hui à défendre la victoire millénaire de l’homme sur la femme autrement que par des arguments religieux à la noix, et ce n’est pas une mince affaire !

- Le féminisme provoque chez l’homme, et aussi chez la femme, un comportement suicidaire. Autrement dit, nous n’avons pas fini de voir défiler des kamikazes prêts à se faire sauter pour une cause ou pour une autre. Cela résulte de l’impossibilité d’affronter le féminisme autrement que par des moyens extrêmement détournés. Remarquons que la forme de suicide la plus souvent adoptée par la masse des hommes occidentaux consiste à se laisser dépérir.

- Je suis revenu de tout et pourtant je ne suis allé nulle part.

- Dans un couple, il y en a rarement deux qui s’aiment. Le plus souvent, il y en a un ou une qui aime et l’autre qui se laisse aimer. Pour savoir qui aime et qui se laisse aimer, celui qui bouffe la chatte ou celle qui taille les pipes est l’amoureux ou l’amoureuse, et l’autre se laisse aimer.

- Il est patent que ce que les massacres qui sont commis actuellement en Algérie se rapportent exclusivement à la guerre des sexes. Aucune vengeance n’y est épargnée à ceux et celles qui ont permis à la femme d’enseigner et de commander à l’homme.

- Au fait, c’est loin l’Algérie ? Car si je pouvais voir la chute du féminisme en France avant de crever, cela me ferait bien plaisir.

- La laïcité est un subterfuge pour imposer l’idéologie féministe, maçonnique et totalitaire à laquelle souscrivent nos enseignants actuels. Leur école a pour but de détruire toute intelligence libre en la soumettant au rituel sadique du bachotage après lui avoir fait croire à toutes sortes de fariboles sur l’épanouissement personnel pendant douze années de scolarité. Il s’agit de fournir des esclaves stupides, aveugles, hébétés, trahis, culpabilisés et finalement dressés, n’ayant aucune information et encore moins de pratique sur les réalités de la vraie vie, incapables de réfléchir autrement que comme des singes savants, et surtout de faire valoir le moindre droit de citoyen.

- La minijupe ne pose pas de problèmes à nos enseignants féministes francs-maçons alors que le voile, qui est un défi à leur idéologie de mixité totalitaire, leur en pose énormément. Qu’importe que des filles de douze ans se fassent violer à l’école pourvu que leur religion féministe s’impose comme la seule vraie foi !

- Remarquons que ces criminels mafieux francs-maçons qui nous gouvernent et qui nous imposent leur féminisme, se réservent pour eux-mêmes, et seulement pour eux-mêmes, le droit de ne pas être commandés par des femmes ni d’être mélangés avec elles dans leurs loges. Comme tous les despotes éclairés, c’est-à-dire les pires ordures de la terre, leur devise est : « Faites ce que je dis mais pas ce que je fais ».

- Les femmes sont incapables d’enseigner. Déjà que les mecs, c’est pas terrible. Mais pour ce qui est des femmes, c’est du délire !

- « … on peut affirmer que la racine même de la décadence byzantine se trouve dans les conquêtes irréfléchies du début du XIe siècle qui devait mener l’Empire au contact de ses pires ennemis, après la suppression des « Etats-tampons » qui l’en séparaient jusque-là (Alain Ducellier, Le drame de Byzance, Editions Hachette). Pour ce qui est des Etats-Unis et ce qu’ils sont en train de faire actuellement, il serait étonnant que cela les conduise à une fin bien différente.

- La femme est incapable d’enseigner, donc incapable d’être juge puisque rendre la justice, c’est délivrer un enseignement.

- De toutes les guerres qu’il nous faut faire, celle contre le féminisme est prioritaire.

- C’est sous l’inculpation de pillage que doivent comparaître les avocats, juges, huissiers et tous les membres du personnel judiciaire actuel.

- Il ne peut y avoir de réforme judiciaire. Ceux qui pillent le peuple depuis des siècles ou des millénaires sont incapables d’entrevoir que les tribunaux puissent servir à autre chose. Leur demander de l’imaginer, c’est les forcer à aller contre leur nature, ce qui est impossible. Seule une révolution de l’ampleur de la Révolution Française, avec tout ce que cela implique de radical comme des milliers de têtes d’avocats et de magistrats roulant réellement dans la sciure, seule une révolution de cette ampleur mettra fin au moyen-âge judiciaire, à condition de veiller à bannir les membres survivants des familles d’avocat, de magistrat, d’huissier et autre ci-devant judiciaire.

- La noblesse de robe, les pillards avocats, huissiers et magistrats semblent aujourd’hui indétrônables. Il en était de même avec la noblesse d’épée en 1789.

- En temps de guerre, les pillards sont exécutés sur place, dès qu’on s’est emparé de leur personne.

- Les progressistes traditionnels sont définitivement disqualifiés en raison de leur féminisme. Ils ont montré ce qu’ils étaient : des séducteurs et non des réalistes. D’un autre côté, pour lutter contre le féminisme, il n’y a que l’extrême droite islamique. C’est dire que nous ne savons où poser les pieds.

- Dès que possible, dès l’école primaire, l’élève doit apprendre à apprendre afin d’être autonome au plus vite dans ses études. Il ne doit plus avoir besoin du maître (encore moins de la maîtresse !) et des cours magistraux antédiluviens.

- Arrivées à une certaine aisance, les civilisations se laissent tenter par le féminisme et, jusqu’à présent, aucune n’y a survécu. C’est dans le suicide démographique qu’entraîne le féminisme que les civilisations trouvent leur fin. La durée de vie d’une civilisation est le temps qu’elle résiste au féminisme. C’est pourquoi j’ai dit que le féminisme est le crime principal contre l’humanité. On ne peut, en effet, faire plus de mal à un peuple, on ne peut le trucider de façon plus radicale qu’avec le féminisme.

- Nous ne sommes pas aussi démunis contre nos maquereaux de pères et nos putains de mères qu’on peut le penser. Il arrive forcément un jour où ils payent, et de façon douloureuse. Personnellement, j’ai renié mon ordure de guru familial de père. Jusqu’à la fin, j’ai refusé de le revoir. J’ai refusé d’assister à son enterrement et je n’ai même pas pris la peine d’aller cracher sur sa tombe. Voici donc, par exemple, ce qu’un fils, ou même ou fille, peut dire à sa femme-flic, femme-juge, femme-prof, femme-P-DG ou quelconque dominatrice de mère : Sache que je ne prendrai même pas la peine d’aller cracher sur ta tombe, ma petite maman chérie !

- Nous n’avons pas à avoir honte de notre haine envers nos parents féministes. C’est de ne pas en avoir qui serait honteux. D’ailleurs le féminisme a détruit tous les liens familiaux ainsi que la notion même de famille. C’est chacun pour soi. Ou plutôt, c’est chacun contre tous les autres : le père contre le fils, la sœur contre le frère, la femme contre le mari, etc.

- L’appareil judiciaire actuel étant l’organisation criminelle la plus virulente et la plus destructrice que nous avons à subir, il est préférable de s’en tenir à l’écart autant que possible en attendant le jour où nous pourrons le détruire. Aller demander justice auprès des pires mafieux du pays ne peut que mener à sa perte. A-t-on jamais vu quelqu’un gagner quelque chose auprès de cette prétendue justice si ce n’est le reniement de lui-même en sus de la dilapidation de son patrimoine ?

- La justice n’est pas une chose pour laquelle il faille constamment se battre car c’est un dû.

- Avoir des relations avec un de ces prétendus actuels avocats, cela équivaut à se jeter dans la gueule du loup. Notre premier objectif est bien évidemment d’éliminer cette racaille qui est pire que tout ce qu’on peut imaginer.

- D’incroyables corrompus qui nous la jouent « Je suis une institution ». En fait d’institution, t’es surtout une grosse merde mafieuse, ma poule.

- D’abord éliminer le pillard avocat ; ensuite éliminer son complice, le pillard magistrat.

- De même que nous n’avons plus besoin du seigneur et de son château, nous n’avons plus besoin de l’avocat sous sa forme actuelle.

- Un monde libre, c’est un monde où l’on peut se passer de l’avocat. Tant que le citoyen sera sous cette tutelle débilitante, il n’y aura ni dignité ni liberté possibles.

- ll faudra bien sûr mettre de côté la construction européenne tant qu’elle sera l’Europe du féminisme et des avocats.

- Vive la Révolution Française II !

- La fonction judiciaire ne doit pouvoir être exercée que par des hommes âgés d’au moins trente-cinq ans et pour une durée n’excédant pas cinq années.

- Les féministes ne devront pas être guillotiné(e)s mais fouetté(e)s entièrement nu(e)s en place publique jusqu’à ce que mort s’ensuive.

- Aujourd’hui, nous n’avons pas affaire à des tribunaux mais à des associations de malfaiteurs féministes, des gangs de criminels mafieux francs-maçons.

- L’avocat actuel est ce qu’il y a de pire au monde : un faux allié, un faux ami. Quand bien même, par exception, il se conduirait à peu près correctement, il cherchera à régenter votre vie et vous aurez un guru qui se mêlera insidieusement de vos affaires et de vos opinions. Il est aussi le cheval de Troie, donc l’arme la plus efficace, d’un appareil judiciaire pervers et totalement corrompu. Mais, bien sûr, il ou elle est d’abord un pillard qui vous laisse sur la paille après vous avoir fait rêver de justice. N’allez pas croire que la justice est gratuite pour les plus démunis. Non seulement c’est entièrement faux mais c’est l’inverse. Les pauvres sont encore plus piégés car si la prétendue aide juridictionnelle, qui est un attrape-nigaud, leur permet d’entrer gratuitement au début, nos juges criminels mafieux francs-maçons féministes s’en servent pour les accabler et les condamner à la fin au paiement de considérables frais de justice. C’est-à-dire qu’à la sortie, le pauvre est condamné à payer des sommes fabuleuses pour rétribuer tout le monde, surtout les avocats de la partie adverse. Et là, il n’y a plus d’aide juridictionnelle qui compte mais des huissiers et la force publique qui ne laissent au pauvre qu’une paillasse et des dettes pour jusqu’à la fin de ses jours. Une bonne partie des procès ne sont qu’échanges de bons procédés, renvois d’ascenseur entre professionnels. Il s’agit de trouver des gogos aux noms desquels faire des procès contre des personnes ou des sociétés dont l’avocat est un ami. Ainsi les avocats membres d’une même loge maçonnique passent-ils leur temps à s’attaquer les uns les autres aux noms de leurs pigeons de clients.

- Ne vous laissez pas impressionner par leurs « Mon cher Maître », leurs « Plaise à la Cour », leur propagande dans les émissions et les séries télévisées au point de vous lier d’amitié avec la pire des racailles. Servez-vous d’un avocat comme on se sert d’un Kleenex au peep show, c’est-à-dire une seule fois.

- Pour nos juges, il s’agit de ne faire que des jugements chèvre et choux qui ne règlent jamais le fond des affaires.

- Ceux qui se livrent au trafic de la justice doivent subir la plus lourde des peines.

- Nous exigeons l’application de la peine de mort pour ces prétendus avocats et ces prétendus juges qui ont toujours considéré la justice comme un immonde trafic devant leur rapporter.

- Le fait que des sectes esclavagistes criminelles aussi abominables que l’église de scientologie aient depuis des décennies pignon sur rue montre à quel point nos prétendus juges sont en réalité des criminels parmi les plus endurcis, et à quel point ils méritent que leur soit légalement appliquée la peine de mort. Mais d’abord, cette peine de mort doit être appliquée aux différents ministres de l’Intérieur qui se sont succédés avec la même indifférence meurtrière alors que leur charge les obligent à dissoudre de telles organisations. Quand on est ministre de l’Intérieur et donc qu’on sait ce qu’il en est, comment peut-on laisser en place de tels pièges mortels contre les jeunes citoyens ? et dans quel but ? Nous sommes manifestement face à une telle criminalité de nos juges et de nos responsables politiques que l’insurrection est un devoir plus qu’impérieux.

- Aucun homme ne se considère en son for intérieur comme l’égal d’une femme. Aucun homme, et surtout pas un jeune garçon, ne supporte d’être commandé ou enseigné par une femme. Alors que sont tous ces hommes féministes qui disent exactement le contraire de ce qu’ils pensent réellement ? Des menteurs, des pervers, et donc des criminels dont il faut absolument se débarrasser avec une cruauté si possible comparable à la leur.

- Nous avons de moins en moins affaire à des gouvernants et de plus en plus à des communicants. Ces gens compatissent à nos douleurs, s’émeuvent de nos angoisses et sont sensibles à nos craintes ! En fait, ils montent d’un cran la manipulation.

- Il nous faut exterminer les familles d’avocats, d’huissiers, de procureurs et de juges, les familles de la noblesse de robe, exactement comme leurs ancêtres ont exterminé celles de la noblesse d’épée. Ce sera la Deuxième Révolution Française, la révolution dont nous pourrons être fiers.

- De la même façon, le féminisme doit êre éradiqué génétiquement.

- Celui qui permet à la femme de vivre en se passant de l’homme doit êre détruit. Celui qui répand avec une insistance perverse allant au-delà du divertissement des histoires sur un prétendu amour entre l’homme et la femme doit également être détruit. Il n’y a jamais eu d’amour entre l’homme et la femme, et il n’y en aura jamais que dans les contes de fées. Il y a toujours eu et il y aura toujours la guerre pour la domination d’un sexe sur l’autre, guerre sournoise ou plus ouverte. Le mariage ne doit pas être envisagé autrement que comme la prostitution imposée avec violence aux femmes, femmes vaincues et légitimes prises de guerre des hommes. Celui qui nie la guerre des sexes et surtout la guerre que les femmes font aux hommes doit spécialement être détruit ainsi que celui qui prétend que l’homme et la femme pourraient vivre dans l’égalité.

- Qu’est-ce que tu crois ? que ta mère t’aime ? Pauvre con ! Elle veut ta place, c’est tout. Enfin, elle la voulait parce que maintenant elle l’a. Cest pour ça que les femmes ont fait chier les hommes pendant des siècles avec leur puritanisme et tout un tas de conneries, c’était pour les virer. C’est pour ça qu’elle ne voulait pas tailler la moindre pipe à ton père, pour qu’il aille voir des putes, qu’il se discrédite et qu’elle, ta sainte mère, prenne le pouvoir.

- En finir avec le féminisme, les sociétés criminelles et la noblesse de robe, en voilà un programme ! en voilà une sacrée révolution !

- Ils sont allés jusqu’à hisser leurs plus immondes prostituées dominatrices sur les trônes des juges.

- Nous sommes la génération maudite, la pire de toutes les générations de la terrre, rien ne peut nous être pardonné, parce que nous laissons à nos enfants un monde de violence et d’horreur, un monde dirigé par les femmes.

- L’amour n’existe pas. Arrêtez de poursuivre cette chimère ! Les femmes ne vous ont jamais aimés et elles ne vous aimeront jamais. Elles vous ont toujours détestés et elles vous détesteront toujours parce que vous leur faites peur du fait que vous êtes bien plus forts, bien plus intelligents et bien plus puissants qu’elles. Cessez de vous estimer en fonction de ce qu’elles peuvent penser de vous. Certes l’impérieux besoin de survie par la reproduction sexuelle se sublime pour trouver une justification éthique, philosophique et esthétique, et cela donne l’extase du sentiment amoureux, mais ce n’est que du jus d’ovaires et de testicules. Dans la réalité, il n’y a que la guerre entre l’homme et la femme, guerre que nous avions gagnée au cours de l’évolution et que nous perdons aujourd’hui. Il est à espérer que nous la regagnerons demain.

- La tyrannie, c’est lorsque le plus faible commande au plus fort. Nous vivons sous la tyrannie féministe. Nous vivons dans cette solitude qui ne cesse de s’étendre et qui nous indique la mort prochaine de notre civilisation. La femme ayant pris le pouvoir, il n’y a plus de de vie commune possible, que de la tyrannie.

- Nous ne sommes pas issus du cerveau d’un idéaliste mais des contraintes de l’évolution. Dans cette réalité, il n’y a pas d’égalité possible entre les sexes, l’un domine obligatoirement l’autre. Le mieux est de préserver le statu quo antique parce que c’est la solution optimale et de faire en sorte que l’homme puisse dominer légitimement la femme sans avoir à se battre pour cela tous les jours.

- L’amour est certainement la plus fatale des ruses de guerre. Il est difficile de ne pas y succomber mais n’ayez pas d’illusions, le naturel de la guerre des sexes revient au galop. La femme est et sera toujours le singe meurtrier et le loup sanguinaire de l’homme. Dites-vous bien qu’à sa place, vous seriez exactement comme elle. A la rigueur, on peut avoir quelque sympathie pour un adversaire amusant. Mais là aussi, ne vous y fiez pas, elles peuvent jouer sur toutes les cordes.

- Je ne suis pas là pour vous donner de l’espoir mais pour vous donner le courage de vous révolter.

- A moins d’une insurrection machiste extraordinaire, tout est perdu.

- D’abord s’allier avec les musulmans pour faire de la France une terre d’islam. La religion, on s’en moque ; ce qui compte, c’est de ne plus être commandé pas des poufiasses chrétiennes, juives, laïques ou autres.

- Du fait de l’actuelle domination de l’homme par la femme, aucune violence, quelle qu’elle soit, contre une femme ne pourra faire l’objet de poursuites judiciaires.

- Les criminels mafieux francs-maçons ont sous-estimé les femmes. Ils n’ont pas vu qu’à la fin, ce sont elles qui allaient tout emporter.

- Le sado-masochisme résulte en bonne partie de l’impuissance à rendre justice des crimes féministes, d’où sa mode actuelle et ce qu’on peut supputer de son développement à venir.

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