DICTONS, PROVERBES, SENTENCES,
MAXIMES ET AUTRES APHORISMES
(neuvième partie)

- Vous pouvez dire que ce que j’écris est détestable mais vous ne pouvez nier que c’est la vérité.

- Je n’ai pas envie de travailler à la prospérité d’un monde dans lequel ce sont les femmes qui commandent.

- Mais oui, je t’aime, ma femme flic chérie, ma jugesse vénérée, mon exécutrice adorée, mon bourreau de charme !

- Vous n’apprenez pas avec une femme professeur. Le mieux qu’une enseignante puisse faire, c’est exploiter vos dons naturels. Mais pour ce qui est d’apprendre vraiment autre chose que ce que vous savez déjà, que ce dont vous êtes déjà capable, il faut un homme. Les femmes qui enseignent sont tout simplement des escrocs, des bonimenteuses, des charlatans.

- Non, la femme n’est pas l’égale de l’homme. L’homme a des aptitudes d’appréhension que la femme n’a pas. La femme a un intellect scolaire et sécurisé, alors que celui de l’homme est tourné vers le monde réel dans lequel rien n’est sûr. La femme peut être brillante à l’école mais c’est toujours l’homme qui entreprend et qui réussit le mieux dans la vie. Ce qui rend l’homme incomparablement supérieur à la femme, c’est sa faculté de jongler avec le réel sans la moindre sécurité et d’arriver à en tirer quelque chose (pas toujours, mais suffisamment de fois pour que cela en vaille la peine).

- Si l’homme peut comprendre la femme parce qu’elle est en dessous de lui, la femme, elle, ne peut pas comprendre l’homme parce qu’il est au-dessus d’elle. Il est donc inepte qu’une femme juge un homme qu’elle ne peut pas comprendre.

- Comment une femme pourrait-elle juger un homme entrepreneur, elle qui n’entreprend que pour survivre ?

- Ce que je raconte, c’est ce que tout le monde sait, mais qu’il ne faut absolument pas dire sous peine de passer pour un abominable macho.

- Lorsqu’on ment longtemps à quelqu’un, même pour lui faire plaisir, on risque de lui faire grand mal. Faire croire à la femme qu’elle est l’égale de l’homme, c’est lui faire le plus grand tort.

- Bien que ce soit impossible, il faudra que la femme admette qu’il y a quelque chose au-dessus d’elle qui s’appelle l’homme. Il faudra aussi qu’elle cesse de nous faire la guerre en raison de notre suprématie.

- Je ne suis pas allé à l’enterrement de mon père. Et pourquoi y serais-je allé ? sachant qu’à cause de cette génération de sales cons féministes, je n’aurai pas d’enfant et que personne ne viendra à mon enterrement. Je ne l’ai même pas trouvé digne que j’aille cracher sur sa tombe. D’ailleurs je ne sais même pas où elle est, et je ne tiens pas à le savoir.

- Notre rôle consiste dorénavant à saboter la société des femmes en essayant d’en faire autant que ce qu’elles ont fait à la société des hommes. Nous ne devons jamais agir de façon ouverte mais toujours par derrière et avec dissimulation.

- Ceux qui croient en Dieu, en un Dieu du bien, doivent être tolérés même s’ils sont casse-bonbons et souvent très dangereux, mais ceux qui croient en Lucifer, en un Dieu du mal comme les francs-maçons, ne doivent pas être tolérés.

- Actuellement, les pays prospères font appel à l’immigration massive pour palier la dénatalité provoquée par leur féminisme. Il s’agit pour eux d’intégrer massivement de nouveaux arrivants et de les convertir au féminisme tout en profitant d’une, deux, voire jusqu’à trois générations de leur fécondité non féministe. Ces nouveaux arrivants ne sont pas aveugles, ils voient la faiblesse du système qui les reçoit et le suicide collectif qu’il est en train de perpétrer. Ils sont plus à même que nous, car plus sensibles à la différence avec leur pays d’origine, de comprendre qu’en se laissant convertir au féminisme, ils se condamnent eux aussi, à plus ou moins long terme, à la même mort par dénatalité.

Aucune tribu, aucun royaume, aucun empire de l’ancien temps n’a survécu à la dénatalité féministe. L’empire romain a chuté principalement sous le boutoir islamique qui a ainsi pris sa revanche sur des siècles de progression féministe. Ici, en France, ce sont les Francs saliens venus de Hollande qui ont finalement pris le pouvoir, avec une loi salique qui limitait le pouvoir des femmes à tous les niveaux de la société, et pas seulement, comme on nous le fait croire, en ce qui concerne la succession royale. Toutes les affaires de succession des Francs saliens, du haut en bas de la société, étaient régies par la loi salique. La femme ne devait pas y être en mesure de commander l’homme. En particulier, elle ne pouvait hériter de la terre. Il y avait d’autres restrictions concernant l’héritage et le pouvoir des femmes dont nous ferions bien de nous inspirer car c’est sur cette force antiféministe que s’est bâtie la France, conquête des Francs saliens.

La loi salique tomba progressivement en désuétude après Charlemagne, et finit par être oubliée. Elle fut ressuscitée de façon trafiquée à l’époque de Jeanne d’Arc, sous Louis VII qui s’en servit pour faire valoir ses droits contre sa mère qui clamait au péril de sa vie que le feu roi n’était pas son père et qu’il n’était qu’un bâtard sans aucun droit, et surtout contre sa très dangereuse sœur qui avait épousé le roi d’Angleterre à qui elle avait apporté en dot le royaume de France dont elle se disait légitime héritière puisque, aux dires de sa mère, son supposé demi-frère était supposé n’être qu’un bâtard. Un moine du parti de Louis VII exhuma des vieux parchemins cette vieille loi oubliée des Francs saliens, dite loi salique, voyant quel service elle pouvait rendre à son maître. Il la maquilla néanmoins tel un habile faussaire. Il limita sa portée à la succession royale en ajoutant « in regno » au texte original pour ne pas aliéner contre son « petit roi de Bourges », déjà en assez mauvaise posture, tous ceux et toutes celles dont les terres et autres biens proscrits étaient passés depuis Charlemagne par une ou plusieurs branches féminines, ce qui n’était pas le cas de la succession royale française qui n’est jamais tombée en quenouille.

Ceci pour dire que l’« intégration-conversion au féminisme » a des limites, et que l’Histoire nous montre que tous ceux qui l’ont pratiquée ont fini par disparaître violemment pour laisser la place à des antiféministes. A moins que vous puissiez me citer un seul peuple féministe ayant survécu ? Non, vous ne connaissez pas d’exemple. Moi non plus.

- Les artistes devront être jugés avec une sévérité toute particulière pour leur immonde propagande féministe.

- Le génie français, c’est de savoir à quel point il est dangereux de remettre le pouvoir entre les mains des femmes sans pour autant tomber dans les travers fanatique et puritain de l’islam.

- Une femme qui enseigne ou qui commande l’homme commet bien plus qu’un viol. Un homme qui a été enseigné ou commandé par une femme n’a plus aucune dignité, il est capable de tout parce qu’il n’a plus rien à perdre.

- Il s’est toujours trouvé des hommes pour trahir leur camp et servir les dominatrices par intérêt personnel ou par simple lâcheté. C’est sur cette race de chiens que devra particulièrement s’accomplir notre courroux. Il y a aussi les illuminés du féminisme, les Akhenaton, les John Lennon, les « peace and love », qui semblent sincères et qui ne trahissent pas, à première vue, par intérêt personnel. Ceux-là cherchent d’où vient le vent pour être porté par lui et acquérir de la puissance avec le temps qui passe. S’il n’est pas possible de leur faire comprendre que le vent a irrémédiablement tourné, il faut les traiter comme les vipères finalement très dangereuses qu’ils sont.

- Si les enseignantes avaient la moindre idée de l’immensité des dégâts psychiques qu’elles font chez les élèves aussi bien garçons que filles (par mimétisme, les filles veulent devenir des maîtresses d’école, des dominatrices qui enseignent et commandent), de la violence dont elles sont la source, cela en arrêterait un certain nombre, mais pas toutes.

- Je suis subjugué par cette unanimité de façade en faveur du féminisme, par cette immense hypocrisie collective.

- La religion consiste à dire avec conviction des choses sur lesquelles on n’a aucune certitude. C’est la voie qui mène à la folie mais l’être humain ne peut se passer de merveilleux. Pour ce qui est de la réalité de la charité chrétienne, rappelons que l’inquisition a envoyé au bûcher ou fait mourir sous la torture quarante millions de personnes. Les guerres purement religieuses entre chrétiens ont fait encore bien plus de victimes. Rien que l’arianisme, condamné pour hérésie, a fait un nombre incalculable de morts, si bien que les chrétiens étaient plus en sécurité à l’époque où ils étaient persécutés qu’une fois arrivés au pouvoir. Après la victoire de Constantin le Grand au pont de Milvius et l’édit de Milan qui légalisa le christianisme, les chrétiens se massacrèrent entre eux pendant plusieurs siècles comme cela ne s’était jamais vu. Ils justifièrent plus qu’amplement les craintes des Dioclétien et autres empereurs romains persécuteurs de chrétiens effrayés par le totalitarisme de cette nouvelle secte qui faisait fi de la tolérance religieuse, fondement de la pax romana et donc de la puissance de l’empire.

La plus grande partie de l’empire romain se rangea du côté de l’arianisme qui voyait en Jésus-Christ un prophète et non le Fils de Dieu, un peu comme les musulmans qui prirent en partie la revanche de l’arianisme finalement défait. Les Gaules, elles aussi, à ce moment, étaient très majoritairement ariennes, et c’est probablement ce qui a poussé Clovis à se faire le champion de la catholicité pour se donner une légitimité sans pareille et gérer ses conquêtes grâce à la seule administration qui avait subsisté en ces temps troublés, celle du pape catholique de Rome. Clovis ne faisait pas les choses à moitié. Il était particulièrement dur, cruel et sanguinaire. C’était un ambitieux capable de tout. Il fit assassiner, entre autres, dans les Gaules et en Hollande, tous les princes francs susceptibles de lui disputer le pouvoir ou de le disputer un jour à sa descendance.

Les catholiques ont gagné parce qu’ils avaient la seule administration existante qu’ils ont mise au service du pouvoir pour percevoir l’impôt et gouverner. Les catholiques étaient de bons collecteurs d’impôt et de bons gestionnaires, ce qui permit à Clovis d’asseoir ses conquêtes et de s’y fortifier au lieu d’avoir, comme les autres chefs chrétiens ariens, à aller toujours plus loin, à se bâtir un royaume en Afrique du Nord comme les Vandales (eh oui ! ces fameux Vandales dont le nom est resté synonyme de destructions sauvages étaient des chrétiens ! des chrétiens ariens mais des chrétiens), pour trouver dans le pillage de quoi payer ses soldats. Clovis n’était pas, comme on nous le laisse volontairement supposer, un idolâtre, mais un chrétien d’abord arien comme tous les barbares de l’époque qui avaient été supplétifs ou alliés de l’armée romaine. De l’arianisme, il s’est converti par un intelligent calcul visionnaire au catholicisme avec une superbe mise en scène faisant intervenir à la fois le Dieu des armées, comme Constantin le Grand, et Clotilde, l’une de ses épouses, ce qui lui apportait en plus le soutien non négligeable des femmes toujours à batailler dans l’ombre pour faire avancer le schmilblick féministe. Clovis a été chrétien d’une façon ou d’une autre du jour de sa naissance à celui de sa mort parce que tout le monde l’était dans son entourage. Il y avait longtemps que tous ces barbares qui flirtaient avec Rome étaient devenus chrétiens, les Francs comme les autres. Entre les deux tiers et les trois quarts du plus ou moins ex-empire romain étaient dominés par l’arianisme. Imaginez la violence et le nombre de massacres qu’il a fallu pour que les catholiques l’emportassent finalement !

L’arianisme, du prêtre Arius assassiné sur ordre de Constantin le Grand mais bien trop tardivement pour juguler la propagation de sa secte, fut la plus importante des dissidences chrétiennes, mais il y en eut une foultitude qui, chacune, firent un nombre plus ou moins incroyable de morts en raison de la nature intrinsèquement totalitaire du christianisme. Citons les deux plus importantes qui furent le monophysisme, qu’on disait cher à l’impératrice Théodora, épouse de l’empereur Justinien, hérésie plus modérée car dans la réalité moins conséquente que l’arianisme dont elle était pourtant le contraire puisque, pour elle, Jésus-Christ était exclusivement Dieu ; et l’iconoclasme qu’on retrouve également en partie dans l’islam, et qui, lui aussi, l’a emporté un moment avec plusieurs empereurs romains d’Orient chrétiens iconoclastes dont la violence sanguinaire est restée d’autant plus légendaire qu’ils ont perdu.

Entre les ariens qui voyaient Jésus-Christ exclusivement homme, les monophysites qui le voyaient exclusivement Dieu et les catholiques qui le voyaient homme et Dieu, beaucoup de sang a coulé. Aujourd’hui, combien de chrétiens seraient capables d’expliquer le très subtil dogme de la Sainte Trinité avec un seul Dieu en trois personnes égales : Dieu le Père Qui est avant tous les temps ; Dieu le Fils, engendré par le Père avant tous les temps et non pas créé, consubstantiel au Père et aussi homme ; et Dieu le Saint-Esprit, produit avant tous les temps par la fournaise d’amour entre le Père et le Fils dont Il est consubstantiel ? Il ne doit pas y avoir grand monde. C’était bien la peine de faire des centaines de millions de morts pour ça !

- Je suis l’homme qui a dit non au féminisme. Je l’ai fait avec d’autant plus de courage que j’étais à peu près conscient de tout ce que cela impliquait.

- Nous ne voulons plus d’un seul de ces juges incapables d’entendre les parties pour n’écouter que les discours techniques des avocats. Dans cette justice où compte d’abord la technique du droit, la mauvaise foi évidente, la fuite devant ses responsabilité, la volonté de nuire indûment à autrui, les mensonges et autres faux témoignages ne sont pratiquement jamais sanctionnés parce que c’est trop compliqué du point de vue technique. D’abord il n’y a même plus de mensonges, il y a des contre-vérités qui, techniquement, sont tout à fait permises ! Ces techniciens du droit, ces spécialistes du mensonge, doivent disparaître pour laisser la place à une justice de vérité compréhensible par tout un chacun, dans laquelle un menteur est un menteur condamné à coup sûr et non un habile technicien de la contre-vérité. C’est pourquoi il faut absolument se débarrasser de tous nos juges et avocats actuels, d’autant que la plupart d’entre eux appartiennent à des organisations criminelles mafieuses de type maçonnique, et ceci au vu et au su des quelques rares qui n’en font certes pas partie mais qui n’émettent que des soupirs en aparté. Quelqu’un qui a subi un préjudice important doit pouvoir dégueuler ses tripes au tribunal et non se contenter d’écouter les arguties techniques des avocats. La justice ne doit plus jamais être un travail confortable, et il est indispensable qu’on n’y fasse plus ces carrières qui permettent d’y bâtir de solides et prospères organisations criminelles mais uniquement un passage limité dans le temps, disons cinq ans maximum pour l’ensemble des activités judiciaires, deux années juge et trois années avocat, par exemple. Après, il faut faire autre chose.

- J’ai dévoilé une bonne partie de vos mensonges. J’espère que vous en m’en voulez pas.

- L’Amérique, le pays des femmes flics obèses.

- Pour un dirigeant, le but n’est pas de régler les problèmes, mis à part ceux qui sont urgents et dangereux, mais de favoriser le climat de bienveillance qui permet aux subordonnés de trouver les meilleures solutions possibles au fur et à mesure que les problèmes se présentent. L’idéal est qu’un dirigeant ne règle aucun problème par lui-même, qu’il s’occupe uniquement de lutter contre ce qui va à l’encontre du climat de bienveillance générale et d’encourager la progression de ce dernier. Bienveillance est le maître-mot du dirigeant.

- Le féminisme est le comble de la malveillance.

- La durée de vie d’une civilisation est le temps qu’elle met à résister au féminisme.

- Faut-il collaborer avec un gouvernement féministe ?

- Le premier des Etats terroristes est bien sûr celui qui jusqu’à présent a perpétré à l’étranger et sur son territoire le plus grand nombre d’assassinats ou tentatives d’assassinats de chefs d’Etat, de chefs politiques, syndicalistes, religieux ou autres. Il s’agit des Etats-Unis d’Amérique. Donc lutter contre le terrorisme, c’est d’abord lutter contre les Etats-Unis d’Amérique. Tout citoyen américain doit être légitiment considéré comme intrinsèquement terroriste.

- Quoi qu’elle ait fait, si une femme est baisable, aucun homme ne la condamnera jamais complètement. Il se réservera toujours une possible ouverture. Sauf moi. Rien à foutre de la baiser !

- La première mesure sera de saisir tous les biens des femmes. La seconde sera d’accorder aux féministes huit jours pour fuir à l’étranger. Et la troisième sera de commencer le neuvième jour les exécutions des féministes hommes et femmes qui auront cru bon de rester.

- Le féminisme rend dépressif, suicidaire, impuissant et obèse.

- Au début, on disait : « Elles ne sont pas toutes comme ça. » Aujourd’hui, il ne fait aucun doute qu’elles sont bien toutes des poufiasses dominatrices et vulgaires, des Julie Lescaut.

- Vous ne devez jamais permettre la formation d’une hiérarchie féminine. La femme ne doit commander ni à l’homme ni à d’autres femmes. Ne permettez jamais à une femme de commander ou d’enseigner à d’autres femmes parce que si elle a de l’autorité sur d’autres femmes, elle s’en servira obligatoirement contre les hommes. N’oubliez pas que les femmes sont d’abord et avant tout des prisonnières de guerre, des vaincues de la guerre de sexes, et qu’aucun prisonnier ne doit commander à d’autres prisonniers. Il n’y a d’autorité que chez l’homme, jamais chez la femme, en dehors des très jeunes enfants pour lesquels on peut lui déléguer de l’autorité de façon très provisoire. Si vous ne respectez pas cela, c’est vous qui serez les vaincus, les prisonniers et les esclaves. Les choses ne se passent jamais autrement. En résumé, la femme ne doit être enseignée ou commandée que par des hommes. Votre femme de ménage ne doit jamais être commandée par votre épouse mais uniquement par vous. Soyez sans pitié pour celles qui prétendent vous arranger la vie en commandant pour vous à d’autres femmes, et détruisez-les systématiquement.

- A l’ombre paisible des « projets domination ».

- La force vitale n’est pas l’instinct de survie mais le « projet domination ». Ce n’est pas le présent mais l’avenir qui compte. Si vous voulez calmer de dangereux terroristes kamikazes, ouvrez des perspectives à leurs projets dominations !

- Il n’y a pas besoin de mûrir beaucoup pour être une femme. Pour ce qui est d’être un homme, c’est autre chose, le parcours est beaucoup plus long.

- Et l’Etat d’Israël, n’est-il pas un signe ostentatoire de religion ?

- En considérant les systèmes planétaires, je ne peux m’empêcher d’y voir une analogie avec les notes de la gamme. Je m’étonne qu’aucune recherche n’ait, à ma connaissance, été faite dans ce sens. Les implications possibles des fondamentales et de leurs harmoniques, les configurations émettrices d’harmoniques, les configurations appelantes, je pense que cela mériterait la formation d’un nouveau corps des sciences qu’on pourrait nommer « harmonicologie ». Par exemple, vis-à-vis du problème à la mode qui est de savoir si la lune s’est formée à partir d’une explosion terrestre, l’harmonicologie pourrait établir s’il y avait une harmonique assez puissante pour attirer et retenir des corps errants de l’espace et former notre satellite ou si l’apport accidentel d’une explosion terrestre était absolument nécessaire. D’autres constructions plus petites comme celles des cristaux font très probablement intervenir les harmoniques.

Comme base de l’harmonicologie, on peut poser qu’une vibration produit des vibrations harmoniques qui sont ses multiples et ses sous-multiples. Dans l’accord majeur, les harmoniques émises sont bien connues, mais la configuration appelante de l’accord mineur est, semble-t-il, ignorée alors qu’elle est plus que digne d’intérêt. En effet, l’amplification de la tierce mineure de l’accord mineur – amplification du do central dans l’accord de la mineur (la, do, mi) – par le jeu des harmoniques appelées mérite qu’on s’y intéresse : appel du fa par le bas pour compléter l’accord majeur de fa (fa, la, do), et du sol par le haut pour compléter l’accord majeur de do (do, mi, sol), ces deux appels amplifiant le do central du la mineur. Ainsi dans l’accord mineur, on a une amplification notable de la tierce mineure alors que cette dernière n’est pas multiple proche ou sous-multiple proche de la fondamentale. C’est suffisamment remarquable pour valoir la peine d’être étudié.

- Dans un même registre mais de façon beaucoup plus aventureuse, je me suis laissé aller à imaginer des voyages dans l’espace au-delà de la vitesse de la lumière. Partant du principe que chaque point de l’espace a des spécificités qui lui sont propres, que deux points ayant les mêmes spécificités sont au même endroit, que deux points ayant des spécificités proches sont dans des endroits proches, que deux points ayant des spécificités éloignées sont dans des endroits éloignés, il s’agit d’adapter un vaisseau spatial pour lui donner les spécificités de l’endroit où l’on désire se rendre. Cette adaptation se fait sur le rythme vibratoire de la matière du vaisseau de façon à la mettre plus rapidement en phase avec le rythme vibratoire du point d’arrivée. Le vaisseau n’est plus seulement propulsé mais « adapté » pour se déplacer dans l’espace. En procédant par tâtonnement, on doit pouvoir dresser une cartographie de l’espace avec les adaptations nécessaires pour s’y déplacer plus vite qu’à l’aide de l’unique propulsion.

Une expérience préliminaire consisterait à augmenter la vitesse de la lumière. Partant du principe que la vitesse de la lumière est potentiellement illimitée, qu’elle est freinée en grande partie par son adaptation à l’espace, il s’agirait d’intervenir sur un rayon lumineux pour qu’il se mette plus rapidement en phase avec un point situé des kilomètres plus loin. Il vaudrait mieux éviter un trajet circulaire et faire parcourir à la lumière un trajet rectiligne pour avoir des coordonnées spatiales les plus différentes entre le point de départ et le point d’arrivée. A partir du moment où l’on sera capable de faire acquérir à un rayon lumineux une vitesse nettement supérieure à la vitesse courante de la lumière, disons 400 000 kilomètres par seconde, l’on possèdera les bases du voyage spatial par adaptation. L’étude peut également être faite en remplaçant la lumière par l’électricité.

- C’est quoi ce site de mégalo ?

- L’amour est une optimisation du projet domination.

- A la vitesse fantastique où progresse l’informatique, le problème de cette barrière qu’est la vitesse de l’électricité ne va plus tarder à se poser de façon cruciale. Nous aurons ainsi une conjonction d’intérêts militaires, économiques et spatiaux qui devrait aider à résoudre le problème.

- Il est important que l’humanité se dissémine dans l’espace puisque c’est la meilleure façon d’assurer sa survie.

- Quelle est la principale cause de mortalité féminine ? La migraine.

- J’accuse le féminisme de l’extermination de ma famille comme il l’a fait et continue de le faire pour tant d’autres qui disparaissent sans cri, sans bruit, sans révolte. Il n’y a aucun descendant de mes grands-parents paternels et maternels après ma génération. C’est certainement le plus grand génocide de tous les temps qui est en train de s’accomplir sous nos yeux d’aveugles.

- Je suis un vrai chanteur raté, aigri, plein de rancœur et d’amertume.

- C’est quoi le plan b ?

- Voter, c’est admettre que l’homme est l’égal de la femme.

- Les élus sont les élus des femmes et ce qu’ils font ne me concerne pas.

- Ne me parlez pas d’amour, s’il vous plaît, cela n’existe pas. Les femmes nous ont tellement aimés qu’elles ont pris le pouvoir à notre place. Voilà la réalité des choses.

- Josée Dayan : je ne sais s’il y aura une guillotine assez grosse pour une telle truie. Enfin… ça peut toujours s’arranger.

- Il m’arrive parfois de me dire que je suis trop dur, trop violent à l’égard des féministes, jusqu’à ce que passent devant moi des femmes flics, menottes et pistolet à la ceinture. Alors je me dis que je suis loin d’en faire trop et que ceux qui les ont armées contre les hommes devront regretter d’avoir osé voir le jour.

- Les femmes sont certes des êtres humains mais elles ne sont pas des hommes, et c’est l’homme qui a gagné la guerre des sexes dans l’espèce humaine. C’est donc à l’homme, et à l’homme uniquement, que revient le pouvoir.

- La domination de l’homme sur la femme est légitime. L’égalité entre l’homme et la femme est le pire de tous les crimes.

- Je meurs de ne pouvoir me battre, de ne pouvoir porter les armes contre les féministes.

- N’oubliez jamais que la guerre se gagne toujours avec des pauvres cons qu’on envoie se faire tuer à sa place. Tant qu’il n’est pas acculé au dernier degré, un chef ne doit jamais se battre lui-même. S’il succombe à cette tentation, cela ne fait que démontrer sa totale incapacité à diriger des hommes de guerre.

- On voit les gens non tels qu’ils sont mais tels qu’on voudrait qu’ils soient.

- Dans un comportement masochiste masculin, il y a que l’excitation est plus recherchée que la satisfaction du désir. Avec une maîtresse qui se refuse à lui, l’esclave mâle prolonge d’autant la période d’excitation qui est celle qu’il apprécie le plus. Dans le masochisme féminin, qui n’est pas tout à fait le même que son homologue masculin, il y a le plaisir de se laisser submerger par le flux sexuel jusqu’à la souffrance. Dépendant, autant que nous le sommes de notre programmation sexuelle, il y a la volonté de faire cesser cette dépendance en passant par une phase de totale acceptation. Le ou la masochiste sont des dominateurs en quête de liberté. Un être vivant ne se soumet jamais à quoi que ce soit. Toute soumission est une phase intermédiaire vers une plus grande domination.

- Quand je serai grand, je serai éjaculateur précoce.

- L’interaction des vibrations provoque une décroissance infime mais continue des rythmes vibratoires jusqu’à ce qu’en certains points de l’espace il y ait beaucoup trop d’espace réel pour pas assez d’espace potentiel. C’est là que se forment les trous noirs qui renvoient l’espace en trop vers de nouveaux espaces possibles avec de nouveaux rythmes vibratoires. La sortie d’un trou noir se trouve un peu partout dans l’espace, là où il y a de la place. C’est une forme naturelle de voyage quasi instantané par adaptation à l’espace.

- Au lieu de rythmes vibratoires, il est plus exact de parler de timbres.

- La pesanteur est l’appel de l’harmonique principale d’un lieu. Ce qui veut dire que si la masse de la Terre n’était pas là, si cette planète n’existait pas encore ou si elle venait d’exploser de façon non naturelle, la pesanteur y serait la même. Si une planète était détruite de façon non naturelle, une autre planète ne tarderait pas à se reformer au même endroit. Ce sont les points harmoniques qui créent les planètes.

- Contrairement à l’idée admise, la masse d’une planète ne crée aucune pesanteur. La pesanteur était là avant la planète. Si la pesanteur est deux fois plus importante sur une planète deux fois pour grosse, c’est parce que le point harmonique y est deux fois plus fort, qu’il crée deux fois plus de pesanteur, et donc qu’il a attiré à lui deux fois plus de masse.

- J’ai enfin trouvé les petits bras. Je sais maintenant pourquoi je tombe quand je me coince les pieds dans le tapis. Pour Newton, c’était à cause d’une pomme ; moi, c’est à cause du tapis.

- Si c’est le prix Nobel de physique que tu veux, tu l’auras pas !

- Quand elles choisissent de se donner exclusivement aux mâles féministes les plus pourris, n’y a-t-il pas extrême violence de la part des femmes ?

- J’espère que vous ne m’en voudrez pas de vous livrer mon antiféminisme et des découvertes de physique remarquables dans un même emballage. C’est parfaitement déloyal, je sais, mais tous les coups sont permis ! n’est-ce pas mes petites Marie Curie chéries ?

- Le bouddhisme, comme toute philosophie et toute religion, est une optimisation du projet domination.

- Méfiez-vous de l’esclave qui dort !

- C’est à c’t’heure-ci qu’tu rentres ?

- Avoir recours à la justice mafieuse maçonnique française, c’est se livrer au crocodile par crainte d’être mangé par le lion.

- Le combat que nous avons à mener est le suivant : créer les conditions d’une défaite totale, planétaire et historique du féminisme. De quoi nous permettre de vivre à peu près en paix pendant quelques siècles avant qu’elles reviennent. Car elles reviendront éternellement, soyez-en certains.

- La morale de l’histoire de Constantin VI, c’est qu’un homme doit tuer sa mère avant qu’elle ne le tue et non après parce qu’après, c’est beaucoup trop tard !

- Si la femme est plus petite, plus faible et moins intelligente que l’homme, c’est parce que nos ancêtres les ont sélectionnées génétiquement, qu’ils ont éliminé celles qui leur faisaient obstacle, et c’est ce que nous devons faire à nouveau.

- Nous devons nous débarrasser des cheftaines, des intellectuelles et des hommasses.

- A partir de vingt et un ans, toute femme dépourvue de seigneur et maître, qui n’est ni malade ni handicapée, sera conduite dans un camp de concentration pour y être vendue aux enchères ou guillotinée si vraiment personne ne veut d’elle après trois mises en vente espacées d’au moins un mois d’intervalle.

- Heureusement que nous avons les chaînes de télévision françaises pour nous aider à penser féministe et américain.

- Ni pute ni soumise mais amazone.

- Les gens des médias, leurs relations et les membres de leurs familles, devront être jugés avec une effrayante cruauté pour leur immonde propagande féministe.

- Mon père avait fait de sa famille une secte dont il était le gourou. C’était un champion de la maltraitance sournoise, bien pire que les violences physiques. Il nous avait affublés de surnoms qu’il utilisait exclusivement pour s’adresser à nous. Jamais mon père ne m’a appelé par mon véritable nom. Mon frère et moi avions des surnoms asiatiques à connotation féminine puisque l’un et l’autre se terminaient par le suffixe ti. Ainsi avait-il nommé mon frère Houang Ti. Quand on osait lui demander la signification de ce nom, il répondait que c’était l’équivalent de César en chinois. Seulement ce César chinois, c’était l’empereur Ti Houang et non Houang Ti. Le Ti en final donne un sens féminin qui fait que Houang Ti signifie femme de la maison d’un seigneur puissant et non César. Mon père qui avait étudié le chinois était le seul à savoir la connotation féminine des prénoms qu’il avait donnés à ses fils. Il en jouait avec les autres membres de la famille qu’il obligeait à nous appeler ainsi sans qu’ils devinassent l’insulte énorme qu’ils nous faisaient. Mon propre surnom était Siao Ti, ce qui était sensé être l’équivalent du Paulus latin, Paul en français, qui signifie frère puîné. Mais, s’il faut effectivement traduire Siao Ti par petit frère dans le cadre exclusif d’un poème soumis aux normes rigoureuses du classicisme de la cour impériale chinoise, dans la langue courante, Siao Ti désigne une jeune fille entre quatorze et dix-huit ans qui n’est pas mariée. C’est un peu notre Mademoiselle. Mon père ne pouvait l’ignorer car il a vécu cinq années au Vietnam où je suis né. Demandez, comme je l’ai fait innocemment à trente ans, à un Vietnamien ce que veut dire Siao Ti, il vous répondra : Mademoiselle.

Mon père avait d’autres perversions que d’appeler sournoisement et de faire appeler encore plus sournoisement son fils aîné femme de la maison d’un seigneur puissant et son deuxième fils Mademoiselle. Quand nous étions de jeunes enfants, ils nous obligeaient à défiler tous les trois comme pour le coucher du roi soleil, nous devions l’embrasser dans son lit en lui disant : « Bonne nuit, papa, chéri d’amour gentil que j’aime beaucoup et que j’adore ». Véridique ! Cela a quand même finit par lasser ma mère et il fut mis fin à cette grotesque cérémonie.

Tout ce qui pouvait rendre solitaires les membres de sa famille, il ne manquait jamais de le faire. Ainsi refusa-t-il de signer l’autorisation scolaire pour que je puisse jouer au football en me disant qu’il préférait l’athlétisme. Il est remarquable comme les institutions scolaires s’activent dans la maltraitance des enfants par le jeu subtil de ces autorisations parentales qui sont la pire des discriminations, celle qui donne le plus la honte. J’ai vu mon frère obligé de rester avec les petits alors que tous ses camarades d’internat sortaient le jeudi après-midi. Mon frère était bien sûr le seul à ne pas avoir d’autorisation parentale de sortie pour le jeudi après-midi, ni pour quoi que ce soit, d’ailleurs. Ce crime a été réalisé par les enseignants de l’époque, comme il continue de l’être aujourd’hui, et mon frère a depuis sombré dans la folie. Ma sœur Isabelle était nommée Babée jusqu’à ce qu’elle finisse par fuir ce monstre et quitter la maison. Elle s’en est tirée mais avec une aversion pour les hommes en général. Mon père avait aussi une foultitude de bizarreries comme l’interdiction de boire du café, de manger du chocolat, de boire du vin ou de la bière. Il imposait toutes ses lubies aux membres de sa famille. Il était un champion pour intérioriser les gens. Quand il vous disait bonjour, il vous faisait immédiatement remarquer le bouton que vous aviez sur le nez ou autre chose de ce genre, il ne manquait jamais rien qui puisse porter votre attention sur vous-même. Bien sûr, il n’a jamais été question de recevoir qui que ce soit chez nous qui aurait été témoin de cette ambiance délétère. A table, mon père paradait en maillot de corps et slip kangourou. Cela aurait pu effectivement troubler un invité ! Il nous envoyait à la messe alors que lui n’y allait plus. La religion n’était que la complice de ses maltraitances paternelles.

Ma mère s’est suicidée, mon frère est devenu irrémédiablement fou et ni mon père ni aucun enseignant n’ont jamais été inquiétés pour ces maltraitances meurtrières. La seule chose que j’ai pu faire, c’est de refuser d’aller à l’enterrement de mon père. Je ne sais pas qui y est allé. Je n’irai pas non plus à l’enterrement de ces ordures d’enseignants criminels mafieux francs-maçons, et surtout de leurs pionnes et de leurs enseignantes amazones dominatrices, dresseuses et tueuses d’hommes, lorsque viendra l’heure de la vengeance générale que j’espère proche.

- Autrefois, les Français se contentaient d’être des veaux. Aujourd’hui, ce sont aussi des porcs féministes en plus d’être toujours des veaux.

- S’il y a une chose qui revient éternellement, c’est le féminisme. Il faudra donc le combattre éternellement.

- La femme est l’avenir de l’homme. C’est pour vous dire si on va se faire chier !

- Pendant la période de quarante années de Terreur contre le féminisme, toute femme prise en possession d’argent, ne serait-ce qu’un centime, ou d’un quelconque titre financier ou titre de propriété ou d’une quelconque valeur monétaire sera fouettée entièrement nue en place publique jusqu’à ce que mort s’ensuive. Durant cette même période, le mariage sera aboli. Tous les participants à la célébration d’un mariage sous quelque forme que ce soit seront condamnés à mort.

- Celui qui met une femme en mesure d’enseigner ou de commander doit être humilié sexuellement en public et torturé à mort avec tous les membres de sa famille.

- Lorsque vous aurez assisté à ces tortures, votre profil psychologique changera vis-à-vis du féminisme. C’est effectivement la barrière de la torture qui vous paralysait et qui permettait aux femmes de vous dominer. C’est cette barrière qu’il faut faire sauter. Il est plus que légitime de torturer à mort pour faire respecter la suprématie de l’homme sur la femme, et il n’y a pas d’autre moyen de le faire.

- Lorsqu’une femme essaiera à nouveau de dominer, d’enseigner ou de commander, la réaction naturelle de l’homme devra être de lui couper immédiatement la tête.

- Les féministes étaient fouettées en place publique pendant la Révolution Française, mais il est clair que cela n’a pas suffit.

- Les hommes étaient perdus du jour où un roi a fait de sa fille une princesse.

- Toute femme portant un quelconque titre de noblesse, d’académie, d’université ou autre, sera torturée à mort avec tous les membres de sa famille. Aucune femme ne doit jamais représenter une quelconque forme d’autorité, que ce soit sur les hommes et surtout sur les autres femmes. Soyez particulièrement vigilant envers celles qui prétendent servir Dieu, elles sont l’avant-garde de l’armée des amazones. Aussi n’hésitez pas à massacrer tout le village, ou même à brûler la ville, si la mort de la famille de la prophétesse ne suffit pas.

- Plus les amazones se rapprochent et plus les apparitions de la Vierge Marie se multiplient !

- Souvenez-vous de la première femme qui a régné sur l’empire romain, l’impératrice Irène, et comment elle a séduit son peuple en apparaissant publiquement toujours avec son enfant dans les bras, enfant mâle dont elle a fait brûler et crever les yeux plus tard pour prendre sa place sur le trône.

- Le christianisme est une des plus belles ruses des amazones. C’est ce qui leur a permis de prendre le pouvoir en Occident.

- Trois Notre Père et dix Je vous salue, Marie. Merci, on connaît le dosage !

- Le christianisme a l’apparence d’un rempart contre le féminisme mais il est tout le contraire.

- Une société féministe est basiquement corrompue. De là, la corruption s’étend à tous les secteurs et à tous les aspects de la vie.

L’homme propose, la femme dispose. L’homme ordonne, la femme obéit ou meurt sous la torture dans d’abominables souffrances.

- Dans cette guerre contre les femmes et, surtout, contre les féministes mâles, il faudra faire preuve de la plus incroyable sauvagerie pour qu’elle reste à jamais gravée dans la mémoire de l’humanité.

- Durant les quarante années de Terreur contre les féministes mâles et les femmes, ces dernières seront interdites de tous les lieux de spectacle, d’information ou de débat sous peine de mort. Les artistes femmes pourront néanmoins se produire avec une autorisation spéciale, provisoire et renouvelable mais uniquement devant un public entièrement masculin. Les femmes regarderont les spectacles télévisés ou diffusés par d’autres moyens ou enregistrés au domicile de leurs seigneurs et maîtres.

- Les féministes mâles ne devront pas être mis à mort avant d’avoir été publiquement émasculés et enculés au fer rouge. Leurs dépouilles ne feront l’objet d’aucun rite funéraire sous peine de mort. Leurs cadavres seront livrés aux chiens. Leurs supplices seront enregistrés et abondamment diffusés.

- Les femmes devront comprendre que leur défaite est totale et irrémédiable et que, finalement, les hommes ne se sont pas laissé faire.

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