M. le Procureur de la République |
M. XXX ZZZZZZ |
, le 10 octobre 2002.
Dépôt de plainte par lettre recommandée
et
opposition aux délais de prescription des événements du 31 août 2001 me concernant en relation avec La Poste centrale de Grigny et le commissariat de Juvisy-sur-Orge.
Monsieur le Procureur de la République d’XXXX,
Par la présente je porte plainte pour violation de la vie privée et de la tranquillité à laquelle a droit tout citoyen, complicité de violation de la vie privée et de la tranquillité à laquelle a droit tout citoyen, harcèlement téléphonique, complicité de harcèlement téléphonique, constitution de fichier de police illégal non conforme aux normes administratives de la police et non déclaré à la CNIL ayant pour but d’attenter à la vie privée et à la tranquillité auxquelles ont droit les citoyens, complicité de constitution de fichier de police illégal non conforme aux normes administratives de la police et non déclaré à la CNIL ayant pour but d’attenter à la vie privée et à la tranquillité auxquelles ont droit les citoyens, convocation de police illégale ayant pour but d’attenter aux droits de justice des citoyens, complicité de convocation de police illégale ayant pour but d’attenter aux droits de justice des citoyens, refus d’assistance à personnes en danger et complicité de refus d’assistance à personnes en danger contre :
- monsieur le commissaire du commissariat de ZZZZZ (XXXXX) ;
- monsieur le lieutenant WZWW du commissariat de ZZZZZ (XXXXX) ;
- contre X du commissariat de ZZZZ (XXXXX).
- et contre le commissariat de ZZZZ (XXXXX).
Je réclame à monsieur le commissaire de ZZZZ la somme de cent mille euros, cinquante mille euros au lieutenant WZWW, vingt mille euros à X et deux cent mille euros au commissariat de Juvisy-sur-Orge en dommages et intérêts.
Le 8 octobre 2002 vers 14 h 30, alors que je terminais de déjeuner dans un restaurant de ZZWZ en compagnie de M. ZZWWYY, policier émérite qui peut témoigner de la réalité de l’appel téléphonique dont il va être question, celui-là même justement qui a participé avec le bonheur mais aussi avec les difficultés que nous savons à nous débarrasser de la racaille mafieuse et soi-disant policière qui sévissait autrefois au commissariat de Montgeron (sa présence était-elle un hasard ou une prémonition ?), mon portable s’est mis à sonner. Une voix masculine qui a refusé de décliner son identité a prétendu téléphoner pour me convoquer au commissariat de ZZZZ. Cette voix me disait avoir laisser un message la veille sur le service répondeur de mon numéro de portable. Devant le refus de cette voix masculine de s’identifier malgré mes sommations très insistantes et répétées, j’ai mis fin à la communication.
Après que M. ZZWWYY a eu l’amabilité de me raccompagner chez moi en voiture, là où il m’avait fait le plaisir de venir me chercher, car je ne dispose pas de véhicule et ma santé problématique ne me permet pas de tels déplacements sans aide, donc une fois revenu chez moi, j’ai consulté le service de messagerie de mon portable. Un message y avait été laissé la veille, 7/10/02 à 18 h 10 par une voix masculine qui s’identifiait cette fois sous le nom de lieutenant WZWW du commissariat de ZZZZ et qui me demandait de le rappeler au XX.XX.XX.XX.XX.
Le lendemain, je trouvais dans ma boîte aux lettres la convocation de police en photocopie-jointe avec le fameux motif illégal puisqu’il ne veut rien dire : « Affaire vous concernant », motif de convocation caractéristique du criminel mafieux infiltré dans la police et qui se fiche ouvertement de la tête du monde en déclarant fièrement de cette façon que la loi est faite pour les autres mais jamais pour lui, et qui milite ainsi activement pour le règne du crime et de la terreur policière qui va de paire.
Par ailleurs, le 25/09/02, peu avant 20 heures, j’ai téléphoné à l’aide de ce même portable au commissariat de Juvisy-sur-Orge en faisant le 17 car une bande s’agitait avec des hurlements depuis un bon moment dans le vestibule de mon immeuble. Ces individus étaient dangereux et de menaçants si bien que chacun était terré chez soi dans l’immeuble. Le fonctionnaire de police, désigné X au début de cette plainte, qui m’a répondu s’est moqué ouvertement de moi et m’a même demandé ce que j’avais bien pu leur faire en éclatant de rire au téléphone. Non seulement il n’a envoyé personne pour protéger l’immeuble, ce qui est un refus d’assistance à personnes en danger, mais c’est certainement à cette occasion que mon numéro du portable a été enregistré illégalement sans que j’en sois averti dans un fichier illégal, non conforme aux normes administratives de la police et non déclaré à la CNIL, et c’est ainsi que ce même numéro a pu être utilisé pour me harceler téléphoniquement plus tard en plus de violer ma vie privée et la tranquillité à laquelle j’ai droit comme tout citoyen.
Autre chose : je fais opposition sur les délais de prescription des événements du 31 août 2001 me concernant en relation avec La Poste centrale de Grigny et le commissariat de Juvisy-sur-Orge, voir copies jointes relatives à cette affaire. Tous les avocats que j’ai contactés ont refusé cette affaire. J’ai donc sommé le Bâtonnier d’Evry qui a fait plus que ce qu’il devait faire en me désignant un nouvel avocat d’office à quatre reprises après que chacun de ces avocats désignés d’office s'est désisté. Le dernier est Me Damien Brossier qui s’est également désisté dès la première entrevue comme les autres. En attendant qu’une solution soit trouvée à cette défaillance d’avocat, je fais opposition sur les délais de prescription de cette affaire du 31 août 2001.
Une rumeur persistante dans le milieu des avocats d’XXXX auxquels j’ai eu affaire, et qui reste néanmoins à vérifier, dit que le commissaire de police de ZZZZ serait un adepte d’une secte criminelle mafieuse de type maçonnique d’une telle puissance dans la police et la justice qu’il est impossible de lutter contre elle. Cette secte serait capable de couvrir toutes les activités criminelles de ses membres. Cela expliquerait que tous les avocats se sont récusés.
En raison de cet important faisceau convergent de présomptions d’appartenance à une secte criminelle mafieuse de type maçonnique, secte non seulement criminelle et mafieuse mais surtout subversive, oligarchique, antirépublicaine et antidémocratique, infiltrée dans l’appareil d’Etat, particulièrement dans la police et dans la justice et aux plus hauts niveaux, et vu l’extrême gravité de cette situation si elle était vraie, il y a lieu d’enquêter très sérieusement pour savoir ce qu’il en est réellement.
Compte tenu de l’extrême dangerosité des individus cités dans cette affaire, de la possibilité très réelle qu’ils ont de m’assassiner ou de mettre fin à mes jours de façon plus indirecte, ne serait-ce qu’en utilisant les voyous qu’ils manipulent pour faire régner la terreur sur la région, je demande non seulement leur suspension mais bien évidemment leur placement en détention provisoire immédiate.
Il n’est bien sûr pas question pour moi de me rendre dans ce que j’ai toute raison de prendre pour un repaire de criminels mafieux extrêmement dangereux, d’autant que j’en suis sorti sur une civière la dernière fois. Ma santé devenue très défaillante depuis cette attaque cardiaque du 31 août 2001 au commissariat de ZZZZ ne me permet pas non plus de tels déplacements sans aide, voir copie jointe de renouvellement d’arrêt maladie. J’ai aussi entendu dire que de nombreux autres incidents et actions en justice avaient déjà stigmatisé plus que suffisamment ces individus et surtout leur chef. Aussi veuillez avoir l’amabilité de transmettre toutes les informations me concernant à mon avocat le plus habituel qui est actuellement Me YYY YWYWY - XX, XEX XRRXR WXEWX, WWWWEX XXXX, qui m’assiste régulièrement avec la compétence et le talent que tous lui reconnaissent.
Recevez, Monsieur le Procureur de la République, l’assurance de mes sincères salutations.
M. XXX. |